Michel JAY, expose ses aquarelles à Vaux-sur-Mer
Je vise quelque chose d’assez essentiel en allant au plus simple, que ce soit par touche ou dans le « hasard orienté » du papier mouillé. Du paysage je retiens davantage l’espace et sa substance que l’accessoire.
Le parcours et la démarche artistique
Je dessine depuis l’enfance. J’ai illustré divers ouvrages pour enfants pour Hachette, Albin Michel et Fernand Nathan. Ma formation d’architecte, aux Beaux-arts, m’a donné les outils pour aborder l’espace et sa représentation au travers de divers médias.
J’ai découvert l’aquarelle au début dès années 1980, admiratif du travail d’un aquarelliste Henry DAVY (1913-1988) dont les paysages captés sur le vif m’ont touché et inspiré.
J’ai immédiatement apprécié l’aquarelle, d’une part, pour la liberté et le nomadisme qu’elle permet grâce au peu de moyens engagés (papier-eau-couleur) et, d’autre part, pour la prise de risque qu’elle impose, difficile en effet, de contrôler la réaction du papier ou d’y revenir.
Je peins ou dessine préférentiellement des paysages glanés lors de mes voyages, mais également les grands ciels de la pointe d’Arvert. Cela conduit souvent à aller vite et sans confort, juste un moment. L’aquarelle est une « compagne » du regard, lumineuse et exigeante.
Je vise quelque chose d’essentiel en allant autant que possible au plus simple. Du paysage, je retiens davantage l’espace et sa profondeur que l’accessoire.
La galerie Saint-Etienne m’accueille pour la seconde fois et je suis heureux d’y présenter mon travail et son évolution.
Consulter son site internet https://micjay.fr/