La Solitaire du Figaro, une deuxième étape musclée vers Royan
Les 33 skippers se sont élancés ce dimanche depuis Port-la-Forêt, direction Royan via les îles anglo-normandes et l’Angleterre. 635 milles pour costauds où une vigilance de tous les instants sera primordiale.
« À ce moment-là, je ne vais pas penser au classement, on verra à l’arrivée. Sur le parcours, il y aura des zones où il y aura des regroupements. En fait, il y a deux phases de course assez distinctes. La Manche qui va être très forte où cela va aller très vite avec peut-être des écarts en mille assez importants. Mais dès que l’on va revenir en Atlantique, cela va se retasser un peu. Faire l’accordéon.
Sur la fin, vers Royan, il y aura des petites dépressions orageuses. On ne sait pas comment on va être mangé. Cela peut créer de gros écarts comme un regroupement de la flotte avant l’arrivée », confiait en quittant les pontons l’amateur éclairé, patron d’un chantier naval à Hennebont.
Les bateaux étant espérés en Charente-Maritime jeudi dans la journée.