La bonne gestion des marais

L’Association syndicale des marais de Chenaumoine s’est réunie le 5 février dernier sous la présidence de Patrick Bouteiller.La réunion s’est déroulée en présence de Michel Lacouture, directeur de l’Union des marais de Charente-Maritime (Unima), et d’Hubert Vidal du Trésor public de Royan.

Le compte administratif 2012 en parfaite conformité avec le compte de gestion ainsi que le budget 2013 équilibré à 159 000 euros ont été votés à l’unanimité.

Au cours de son intervention, Patrick Bouteiller a tenu à mettre en avant la collaboration constructive avec le service environnement de la commune notamment pour la gestion du rejet des eaux en période estivale.

En un an, a-t-il précisé, un hectare de maïs produit deux à trois fois plus d’oxygène qu’un hectare de forêt, ce qui est, hélas, méconnu.

Une réflexion sur “La bonne gestion des marais

  • FELICITATION pour votre remarquable AUTOSATISFACTION !

    Ne serait-t-il pas plus INTELLIGENT , plutôt que de *CACHER la me.de du chat sous le tapis*, en rejetant pendant la nuit en période estivale, depuis des années,(preuve que vous connaissez la pollution), de chercher à résoudre le problème de manière plus sûre et plus pérenne?

    Etes-vous bien certain de supprimer AINSI tous les risques ? Certainement pas !
    D’autant que dans le contexte du riveau, la pollution peut provenir de diverses sources, au minimun quattre avec chacune leurs types de polluants avec des conséquences plus ou moins graves.
    A quand, des analyses détaillées et régulières portant sur tout le panel de polluants susceptibles d’être rencontrés dans le riveau?
    Espérons que la nouvelle personne chargée de l’environnement saura régler ce problème complètement négligé par son prédecesseur.
    c’est assez révélateur aussi de jouer les écologistes, a-t-on besoin vraiment de cet oxygène déjà fourni par la forêt proche? Et dans le même temps renvoyer à la mer quantité de polluants!
    Déjà pour une partie d’entre eux, il est vrais, ceux qui ne proviennent pas de l’agriculture, mais les seuls divulgués pour l’instant, ils dépasseraient, en taux, à la sortie du riveau très largement ce que l’on tolère en sortie d’une station d’épuration.
    La probabilité est forte pour que ce soit catastrophique pour les autres, nous aurons certainement bientôt des nouvelles avec ,espérons le, la nouvelle municipalité.

    De vrais écologistes ce syndicat du marais !

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