La municipalité dégaine son arme secrète à Saintes

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photo S.D.
Une dose de sève de pins des Landes et un zest d’huiles essentielles agrémenté de certaines herbes tout à fait licites. Voilà la formule censée ramener nos fidèles compagnons à plus de retenue lorsqu’il s’agit de soulager un besoin naturel. En particulier sur l’herbe bien grasse des espaces verts du centre-ville. L’odeur n’est pas très agréable pour l’être humain.

Les senteurs dégagées repoussent toute velléité canine de transformer l’endroit en parc à crottes.

L’intéressé n’est pas le seul maître indélicat à ne pas ramasser les déjections de ses bêtes.

«Beaucoup de gens se plaignent de ce problème», reconnaît Denis Jarraud.

Reste que le produit utilisé par les agents de la Ville ne devrait être efficace que pour les chiens en divagation.

La Ville a, en tout cas, déjà installé une vingtaine de canipoches avec, en moyenne, tous les ans, un peu plus de trois millions de poches utilisées.

Un chiffre important qui n’a pourtant pas fait disparaître les déjections canines du paysage urbain. S



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