Histoire pour un dentiste

histoire pour un dentisteUne personne rencontre une difficulté avec une dent cassée, sans mal insupportable, elle prend son téléphone et essaye de prendre un rdv chez un dentiste. Après avoir contacté les dentistes de Semussac, St-Georges de Didonne, Saujon, Royan et même Saintes, aucun ne pouvait lui donner un rdv, car ils ne prennent plus de nouveaux patients.

Chez certains, des messages sur leur répondeur leur ont été déposés, mais jamais de réponse en retour ! Quoi qu’il en soit, après une bonne vingtaine d’appel,la personne réussit à obtenir un rdv, mais à une date amenant de six mois plus tard ! Le rendez-vous est pris tout de même.

Cela ne s’arrête pas là malheureusement, car, quelques semaines plus tard, une rage de dents se produit . La personne recontacte le dentiste, qui a bien gentiment donné un RDV dans six mois — néanmoins en urgence – mais il ne peut la prendre que trois semaines plus tard ! Comme si une rage de dents pouvait attendre trois semaines !

Après cette réponse inaudible,la personne réessaye de contacter un autre dentiste, sans résultat. Alors, elle appelle le 15, qui lui conseille de contacter son médecin traitant (si vous en avez un) ou attendre le dimanche suivant en appelant le 15 de 9 h à 12 h qui vous communiquera le dentiste de garde pour les urgences.

Le dimanche étant bien loin, la personne décide d’aller aux urgences de l’hôpital de Royan/Vaux. Elle explique son problème de dents et on lui communique deux numéros et adresses de dentistes ! Pas de consultation à l’hôpital. Le premier numéro, le dentiste était fermé et pour le second, celui-ci semblait énervé de l’envoi par l’hôpital et il n’a pas accepté.

La personne décide donc d’appeler son médecin traitant qui donne un rdv en urgence pour le lendemain matin. Avec les médicaments, la rage de dents s’atténue au bout de quelques jours. La prise en charge de cette rage de dents a été effectuée par un généraliste et non par un dentiste et encore moins par l’hôpital de Royan/Vaux. D’ailleurs, des demandes d’explications ont été demandées par courriel auprès de l’hôpital de Royan/Vaux les 11/07 et le 19/08, mais aucune réponse n’a été communiquée.

Comme le soulignait le médecin généraliste, « il faut se demander si les dentistes ont déjà eu mal aux dents» car si oui, ils seraient bien plus réceptifs aux problèmes et douleurs de la population.

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