Royan à la Côte

Royan à la CôteRoyan à la Côte. Si la demande en centre-ville et en bord de mer ne faiblit pas, les biens vraiment adaptés à la clientèle de retraités se font rares. Au 1er août 2015, le mètre carré se négocie en moyenne 2.637 euros, tous types de biens confondus. Pour être correctement vendu les logements, en plus de disposer d’un ascenseur, d’un parking et d’un balcon, doivent être situés en centre-ville et au plus près de l’une des cinq plages de Royan.


 
les biens répondant aux besoins des retraités et préretraités se vendent rapidement du fait de leur rareté. Les biens non adaptés, comme les maisons avec lieu de vie à l’étage ou les copropriétés sans ascenseur, ont plus de mal à séduire.
 
Ces types d’habitat sont nombreux dans un parc immobilier en grande partie reconstruit dans les années 50, après les dégâts occasionnés par la guerre.
 
Certaines maisons ont été divisées en copropriétés avec appartement à l’étage et maison au rez-de-chaussée afin d’être mieux vendu.
 
Une agence vend un bien d’une superficie de 284 m² sur terrain de 858 m², elle est proposée à la vente depuis trois mois au prix de 1,42 million d’euros. Sur ce même boulevard, un autre agence immobilière a conclu la vente d’un appartement de 34 m² avec balcon et vue mer refait par un architecte à 166.00 euros.
 
Quant aux autres plages de Royan (Pontaillac, Pigeonnier, Le Chay, Faucillon), elles se distinguent uniquement par leur ambiance plus confidentielle, mais leurs prix restent les mêmes.
 
Au-delà de la rocade, dans les quartiers dits «extérieurs», les terrains à bâtir se multiplient et sont plus abordables.
 


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