« Un violon sur le sable, un violon dans la ville »
« Un violon sur le sable, un violon dans la ville ». Retenez toute la grande semaine du 19 au 26 juillet : vous serez à «Un violon sur le sable, un violon dans la ville» et pas ailleurs. La programmation de cette manifestation phare du Pays royannais a été dévoilée hier par Philippe Tranchet (les 19, 22 et 25 juillet), fondateur et directeur de ce festival, en présence du maire de Royan, Didier Quentin, et du président de la communauté d’agglomération (Cara), Jean-Pierre Tallieu, principaux partenaires publics.
Comme on ne change pas une formule qui gagne, le principe de la décentralisation des animations («Un violon dans la ville»), mis en place il y a trois ans, sera repris cette année.
De fait, plusieurs communes de la Cara auront un concert d’un soliste ou d’une petite formation.
Les trois concerts sur la scène de la Grande conche, avec l’orchestre du festival dirigé par l’inoxydable Jérôme Pillement, auront lieu les samedi 19, mardi 22 et vendredi 25.
Troisième et dernier concert : Nicholas Angelich (piano), Alison Balsom (trompette), Joël Grare & Co (percus), Stéphanie d’Oustrac (mezzo-soprano) et le choeur du «Violon sur le sable».
Depuis plusieurs années, le festival s’attache à faire découvrir aussi des instruments de musique étranges, insolites, voire franchement bizarres.
Il y aura cette fois un glassharmonica, un instrument ancien composé de coupelles de cristal disposées sur un cylindre que l’on fait vibrer avec les doigts humides. Mozart a écrit des pièces pour glassharmonica.
L’autre instrument peu ordinaire sous nos latitudes est le kot, un instrument à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle.
Résumé art didier piganeau de Sudouest