Terra Lacta devra mettre la main à la poche

Terra Lacta devra mettre la main à la pocheTerra Lacta devra mettre la main à la poche. Une convention de revitalisation a été signée le 5 mars 2014 entre l’État et la coopérative Terra Lacta, à la sous-préfecture de Rochefort, à l’occasion de l’installation du comité de suivi. Cet accord organise la contribution, notamment financière, que Terra Lacta apportera à la revitalisation économique des bassins de Surgères et de Royan, touchés par les licenciements collectifs prononcés en 2013.

Les difficultés de la filière laitière et la concurrence au sein de l’Union Européenne, avaient conduit l’entreprise à des restructurations et à la suppression de 66 postes en Charente-Maritime, dans le cadre d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).

Le groupe Terra Lacta, qui compte plus de 1 000 salariés, est donc soumis à une obligation de revitalisation, visant à contribuer à la création d’activités et au développement d’emplois, dans les territoires concernés.

Ce comité est composé, outre les représentants du président du Conseil général et de la présidente du Conseil régional, des élus locaux des territoires concernés et des représentants des services de l’État (Direccte, Ddfip…).

Elles donneront lieu, un mois avant le terme de la convention, à un bilan complet des résultats et des justificatifs des dépenses engagées, adressé par la Coopérative au préfet.

Résumé art Armand Berthomé de Sudouest

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