Des travaux à mi-chemin

Des travaux à mi-cheminDes travaux à mi-chemin sur le front de mer. L’ensemble architectural qui épouse la courbe du fond de la Grande Conche, oeuvre de l’architecte Louis Simon, est actuellement en chantier. Ou plus exactement une partie de l’ensemble est en chantier, celle qui va de La Poste au Portique (et au café du même nom) et qui a été poétiquement baptisé «îlot 17», soit plus de 200 logements environ sur trois niveaux.

Ravalement des façades, peintures, étanchéité des toitures, normalisation de certaines enseignes commerciales. «Nous en sommes aux deux tiers du chantier», assure Jean-Claude Stoffaes, président de la copropriété de l îlot 17.

«Nous avons commencé par l’arrière, c’est-à-dire la partie donnant sur le boulevard de la République, la météo nous a fait prendre un retard d’une quinzaine de jours».

Mais ce sont surtout les claustras – ces tubes en aluminium verticaux – dans les «U» qui ont réservé quelques mauvaises surprises. Pour la première fois depuis la construction, nous les avons entièrement démontées pour les traiter en usine.

Normalement, compte tenu de l’absence de U, le travail devrait aller plus vite, et si tout va bien, tout devrait être achevé en juin.

Avant de commencer cette partie, il a fallu résoudre le problème de l’ancrage de l’échafaudage.

En effet, sur l’autre face, s’il pouvait prendre appui directement sur le sol, les «vagues» en résine et fibres de verre au-dessus de la galerie commerciale installées en 1991 ne permettent pas cette possibilité.

Dès la rentrée, c’est la seconde partie du «Front de mer» (du café Le Régent au square du 8-Mai), autrement dit les îlots 18 et 29 (au niveau de la pizzeria Nona) qui sera à son tour bardée d’échafaudages pendant six bons mois.

résumé art Didier Piganeau de Sudouest

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