Depuis le 3 juin, Christophe Dardailler est suspendu

Jean-Claude Stoffaës, le directeur de la régie du centre équestre, qui chapeaute la structure, l’attendait en réalité pour lui signifier sa mise à pied.En poste depuis septembre dernier, Christophe Dardailler a donc interdiction, depuis, de se présenter au Maine-Gaudin.Quel motif suffisamment grave pour justifier une telle mesure a été avancé le 3 juin dernier?«Le directeur de la régie m’accuse d’avoir émis une fausse facture, entre autres motifs», s’explique ouvertement Christophe Dardailler.

En réalité, j’ai photocopié une facture, une copie sur laquelle j’ai apporté des annotations personnelles car je voulais préciser certains éléments avec la secrétaire, en vacances cette semaine-là.

Le lundi 10 juin, Christophe Dardailler a été convoqué à un nouvel entretien, cette fois préalable à un licenciement.

Dans un langage tout aussi prudent, et sans désigner celui ou ceux qui auraient lâché les mots de «fausses factures», de «détournement», Didier Quentin «(se) garde personnellement de reprendre à (son) compte les termes employés, à (son) sens excessifs».

La décision la plus immédiate concernant le sort de Christophe Dardailler, toutefois, «me revient, en qualité de directeur de la régie», se limitait à rappeler Jean-Claude Stoffaës, réservant ses éventuels commentaires.

Cette décision, «la poursuite de la mise à pied, la réintégration de M. Dardailler… ou autre», Jean-Claude Stoffaës estime être en mesure de la prendre dans le courant de la semaine.

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