La fête des lumières

La «fête des lumières» vivra ce soir, déjà, sa cinquième édition. Pour l’occasion, évidemment, l’association pour la défense de l’église de Royan (Ader), instigateur de l’événement, sortira les bougies puisqu’il s’agit du concept de la fête. La présidente de l’Ader rêve que tous les Royannais, le plus grand nombre d’entre eux en tout cas, «allument à leurs fenêtres, sur leurs balcons, une bougie» et intensifient ainsi la «lueur» qui sera projetée sur Royan avec l «embrasement» de l’église Notre-Dame.


Marie-Pierre Quentin ne va jusqu’à prendre modèle sur la ville de Lyon, à la fête des lumières incomparable, à commencer pour des raisons budgétaires.

D’autres villes françaises, en revanche, se sont inspirées de ce concept de «fête des lumières» et inspirent à leur tour la présidente de l’Ader.

Toutes proportions gardées, toujours, par rapport à ces exemples, car à écouter l’épouse du député-maire Didier Quentin, «si la Ville de Royan s’investit déjà beaucoup pour une bonne organisation de la fête, bien d’autres édifices remarquables de Royan mériteraient d’être mis en valeur en cette période».

«Des solutions techniques existent pour proposer des éclairages de meilleure qualité encore à un coût moindre», relève le maire de Royan, qui promet qu’elles seront étudiées pour donner, lors d’une prochaine édition, une autre dimension encore à la fête des lumières royannaises.

La trentaine de participants recensée prouve que l’idée séduit.

Aux clients et badauds de désigner le gagnant, maintenant.

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