la Douelle n’aura pas de travaux

Du centre PEP 17 de la Brande à la Douelle, à la Vieille Perrotine, elles sont aujourd’hui plusieurs structures d’accueil à être directement concernées dans leur fonctionnement ou leur développement par leur situation sur la frange littorale, protégée par les dispositions destinées à préserver une zone sanctuaire pour les oiseaux sur la côte est de l île.


Préexistantes, fonctionnant depuis plusieurs décennies, leurs exploitants se retrouvent parfois dans des situations ubuesques, telle celle que connaît actuellement Amoudi Tribèche, gérant de la Douelle.

En 2010, il dépose en effet un certificat d’urbanisme auprès de sa commune pour des travaux d’aménagement des pavillons de son centre de vacances, qui accueille de plus en plus de personnes handicapées.

C’est alors que la Société de protection des paysages de l île d’Oléron (SPPIO) entre en scène, évoquant l’interdiction de créer de nouvelles constructions en bordure de littoral et estant devant le tribunal administratif, arguant que le projet «n’a rien d’une reconstruction», que la zone est désormais protégée et surtout que le dit document «serait entaché d’illégalité» compte tenu d’une éventuelle «incompétence» de l’élu signataire, qui «ne justifiait pas à l’époque d’une délégation régulière et publiée».

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *