Les palmiers phœnix n’ont pas aimé le froid
Autant dire que l’on a jamais rencontré, à Royan, de telles conditions climatiques depuis une vingtaine d’années puisque les 15 gros palmiers phénix (originaires des îles Canaries) ont été plantés au début des années 90.
«Nous allons les élaguer et peut-être qu’avec le retour de la chaleur, ils repartiront», espère Philippe Couderc, responsable des espaces verts.
En revanche, il semble qu’il n’y a pas beaucoup d’espoir, pour ne pas dire pas du tout, pour d’autres plantes plus petites comme les dracaenas et les agaves. S