L’année 2012 sous le signe du « pragmatisme »

Il n’y a guère qu’au casino de Pontaillac qu’on flambera encore, à Royan, en 2012.Sans verser dans le pessimisme le plus noir, que le maire laisse «à des jours meilleurs», paraphrasant la maxime de l’écrivain et comédien Peter Ustinov, Didier Quentin n’a pas non plus teinté ses voeux pour l’année 2012 du plus béat des optimismes, mais plutôt de «pragmatisme».La municipalité veut rester ambitieuse, assure Didier Quentin, dans la limite de ses moyens.

Le contexte national peu florissant – doux euphémisme – et une situation locale guère plus encourageante contraindront la municipalité à serrer les boulons, cette année, a prévenu Didier Quentin.

Didier Quentin n’affectionne pas le terme de «crise», a-t-il expliqué au parterre d’invités réunis au Palais des congrès.

Les «grands projets» que lui réclament certains de ses concitoyens, dans un tel contexte?

En projet aussi, mais à un stade moins avancé, se pose la question de l’avenir de l’ex-restautant Le Nautile, à Foncillon, pour lequel la Ville cherche un investisseur, et surtout de l’avenir des Jardins du Monde. S



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