Les 1 001 Vagues visitent le musée de haut en bas

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photo didier piganeau.
La troupe professionnelle des 1 001 Vagues a passé un bel été, merci pour elle. Marie-Hélène Lelièvre et Dominique Courait ont prolongé l’existence de leur création de la «Lettre d’une inconnue», de Stéphane Sweig, au festival d’Avignon. Devant un vrai «public de théâtreux». Les 1 001 Vagues animent toujours ses ateliers des Sources, offrant l’opportunité aux amateurs de s’adonner à l’art théâtral.

Les adultes adhèrent en nombre à l’idée, cette année.

Dominique Courait se moque de la parité, mais a dû se gratter la tête – et continue à le faire – pour proposer à ses élèves des projets théâtraux adaptés.

L’équation est simple, à première vue : quelles pièces choisir, offrant un rôle à chacun?

Le comédien et metteur en scène pense avoir trouvé une création à la dimension de la soif de jeu et de plaisir de ses élèves : «Musée haut, musée bas», écrit pour la scène, puis adapté et réalisé au cinéma par le même Jean-Michel Ribes.

Dominique Courait voudrait bien convaincre quelques personnalités locales de jouer le jeu. «Un rôle de ministre de la Culture est à pourvoir», lance-t-il innocemment.

À travers le prisme d’une visite au musée et les regards que porte une galerie de personnages hauts en couleurs, l’auteur interroge sur le rôle que la société donne à la culture, «sur le rapport de l’Homme à l’art». S



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