« Une guerre éco nomique »
Avec plus d’une vingtaine de commerces de ce type dans l’agglomération, le marché de l’occasion a encore de beaux jours devant lui. Première règle absolue de cette économie accessible à toutes les bourses : les objets proposés sont récents, en bon état, garantis ou remboursables en cas de pépins. Revue de détail non exhaustive de l’offre rochelaise en matière de bonnes affaires. Avant de mettre un article en rayon, nous sommes très à cheval sur l’usure et l’âge du vêtement.
Peu importe l’âge du client, les magasins dédiés aux tout-petits comme Dansons la capucine, ne jurent aussi que par la marque. Ça a tellement bien marché que j’ai décidé de me lancer en ouvrant une boutique en ligne.
De nombreux commerces indépendants comme Bambitroc ont sauté le pas pour rebondir sur la Toile.
«La décote des produits va très vite, il faut être réactif pour éviter la concurrence des vide-greniers, des brocantes et des grosses franchises», détaille la propriétaire de ce commerce rochelais vieux de 15 ans.
Du côté des structures franchisées, on pratique davantage l’achat-vente que le dépôt-vente.
Chez Easy Cash, à Angoulins, dans la zone d’aménagement concerté (ZAC) des Fourneaux, les vendeurs testent et rachètent de nombreux produits.
Cela a un coût alors que maintenant, avec une photo, trois clics, les clients évitent les intermédiaires. S