Le parvis entre légendes et belles découvertes
Près de 250 personnes y ont assisté, jusqu’au bout, tant la conférence était passionnante, nourrie de photos, d’images en 3D, d’images de synthèse également. Parmi ces objets, les lames de couteau, une plaque boucle (sorte de boucle de ceinturon), des scramasaxes (épées à un seul tranchant, 5 en tout), des fibules (épingles à vêtements), plusieurs bagues (dont une portant un grenat), de la monnaie, des épingles de linceul, une boucle d’oreille finement ciselée, du fil (or), des peignes, une croix chrétienne (en argent), des fragments de tissus minéralisés (ce qui est extrêmement rare).
Durant un an, Léopold Maurel s’est plongé dans une recherche documentaire phénoménale pour replacer les choses dans leur contexte historique.
Pour Léopold et tous les autres passionnés, «l’aventure a commencé en janvier 2008 lorsque la dépose de la balustrade du parvis de l’église a laissé apparaître les traces de sépultures anciennes». S