Le débat n’est pas clos

Les différents intervenants, dont Benoît Biteau, vice-président radical de gauche du Conseil régional, et Nicole Kiil-Nielsen, députée européenne Verts, ont pointé les conséquences directes de l’agriculture irriguée sur l’état des rivières (dont la Boutonne) et sur la ressource en eau.

En parallèle à cette manifestation, le sénateur UMP Michel Doublet, président de la commission agriculture et développement durable du Conseil général, a annoncé que l’Agence de l’eau Adour-Garonne financera désormais les réserves de substitution des agriculteurs irrigants à hauteur de 70 % au lieu de 40 % («Sud Ouest» du samedi 4 septembre).

Le parlementaire a aussi indiqué que ces réserves devront être réalisées et gérées, à l’avenir, par des syndicats mixtes regroupant les financeurs, dont les agriculteurs irrigants, mais aussi les pêcheurs, les associations de protection de la nature. S



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