Le festival de pyrotechnie se livre sans artifices

La 8e édition du Festival international d’art et de pyrotechnie, qui s’est officiellement ouverte le 14 juillet, bat son plein à Saint-Palais-sur-Mer. La manifestation se confond cependant souvent, dans l’esprit du public, avec la soirée de clôture, qui voit s’affronter trois cultures pyrotechniques différentes. Demain soir, la Russie et le Maroc se frotteront donc au Brésil. David Proteau, directeur artistique de l’entreprise Lacroix-Ruggieri, qui a suivi l’intégralité des éditions, dit tout.

Nous mettons en présence des nations jusqu’ici jamais sollicitées, la Russie et le Maroc, avec un grand ancien, le Brésil.

Le Maroc bénéficie d’une très belle bande-son sur un feu faisant appel à un savoir-faire très classique.

Ce sont, avec le Brésil, des identités très affirmées.

Il s’est dit beaucoup de choses et son contraire à propos de l’identité des prestataires concurrents.

Cette ambiguïté nous a poursuivis longtemps (rires).

Le feu russe est créé par un confrère qui connaît bien le pays et dont l’épouse, elle-même Russe, travaille dans son pays.

La prestation du Maroc est réalisée par un confrère travaillant régulièrement pour la Cadex, la Compagnie africaine des explosifs, sur une musique signée de Philippe Tranchet.

La bande-son sera celle d’un spectacle que nous avons réalisé sur le site.

Car la culture des différents pays est réellement respectée.

Près de dix ans après sa création, vous êtes toujours partant pour le Festival d’art et de pyrotechnie? Source



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