Priorité à la surveillance sur le littoral royannais

littoral royannais«La plupart des personnes postulant pour la surveillance des plages étant des étudiants, nous sommes placés devant la quasi-impossibilité de recruter en dehors des mois de juillet et d’août\u2026» Jean-Pierre Tallieu ne cache pas ses regrets. Le président de la Communauté d’agglomération Royan Atlantique (Cara) doit déjà compter avec deux décès sur les plages du Pays royannais.

Certes consécutifs à des malaises, mais toujours difficiles à vivre.

Les équipes sont aujourd’hui en place, pour toute la durée de la saison.

Cela exige de l’attention et de la concentration.

Il n’est pas souhaitable qu’ils soient constamment distraits de cette mission.

En clair, explique Jean-Pierre Tallieu, les sauveteurs ne sont pas là pour assurer un service de bobologie.

Et pendant qu’ils font cela, ils ne sont plus concentrés sur la surveillance.

Il y a encore des accidents liés à l’hydrocution, mais les sauveteurs n’y peuvent rien.

Une organisation gérée par la Cara sous contrôle du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis).

Lorsque j’ai été porté à la présidence du Sdis, j’ai insisté pour développer le savoir-faire du pays royannais sur l’ensemble du département.

Dont des véhicules 4 x 4 et de jets de mer spéciaux. Source



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