Coup de vent sur l’immobilier ?

Pourra-t-elle se relever avant le retour de ceux qui font tourner sa principale industrie, le tourisme? Continuera-t-elle de séduire ces retraités qui assurent son essor démographique et font flamber l’immobilier? Et quid de ses plages, de ses eaux de baignade, alors que des stations d’épuration n’épurent plus grand-chose?

Reste quelques signes qui montrent que la campagne de promotion voulue par le Conseil régional aura du mal à gommer les images de dévastation vues à la télé.

Le premier risque concret, c’est l’annulation de locations saisonnières.

Jean-Claude Verdier, de l’Agence fourasine, à Fouras – comme son nom l’indique -, confirme avoir reçu «quelques appels de gens inquiets».

Modérément optimiste, il s’attend à un gel des demandes ce printemps et met tous ses espoirs dans la clientèle d’habitués et les réservations de dernière minute.

J’ai quelques maisons sinistrées, mais elles seront réparées avant l’été.

À La Rochelle, Éric Baudon gère quelque 150 locations de vacances à l’enseigne Plaisance immobilière.

L’important, c’est que la ville retrouve son visage habituel pour les vacances de Pâques.

L’ouragan de 1999 n’avait pas affecté le marché immobilier.

Je ne sais pas si les maisons inondées vont être démolies ou reconstruites, mais je pense qu’en zone submersible, les transactions vont complètement chuter. Source

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