Ils ont choisi le Pays royannais

Ils ont choisi le Pays royannaisPourquoi ils ont choisi le Pays royannais. Chaque année, ils sont des centaines à venir s’installer à Royan. Parmi eux une grande majorité de jeunes retraités qui après une vie professionnelle bien remplie viennent se retrouver au calme à Royan. La région parisienne est généralement leur lieu d’origine, mais pas toujours. Que vient-on chercher dans la cité balnéaire quand on arrive d’une autre ville de province et pas forcément de Paris? Pourquoi est-on attiré par le Pays royannais?

Nous avons posé la question à plusieurs de ces néo-Royannais installés dans la ville – ou à proximité depuis deux ou trois ans. Jean-Paul et Nicole habitent depuis 2011 dans le quartier de Foncillon dans une jolie maison moderne qu’ils ont fait construire. Leur venue à Royan est simplement due au… hasard.

Jean-Paul était directeur de ressources humaines dans une entreprise d’Aix-en-Provence, quand, à l’été 2007, avec Nicole, ils ont mis la première fois les pieds à Royan. C’était en août, il faisait très beau. Nous étions à l’hôtel des Filets bleus.

Nous avions bien aimé Royan, mais nous n’envisagions pas de nous y installer. Et puis, nous sommes revenus en novembre de la même année, pour voir.

Il pleuvait, mais la ville nous a bien plu quand même. C’était vivant, les magasins étaient ouverts, il y avait une certaine animation.

Alors, il y a eu le déclic, on a pensé que l’on pourrait venir à la retraite ici.

Il nous fallait trois choses essentielles : un centre-ville où l’on se déplace facilement, sans avoir besoin de prendre la voiture, être au bord de la mer et se trouver à proximité d’un hôpital.

Trois ans plus tard, pas de regret d’avoir quitté la Provence? Jean-Paul fait du tennis et il est membre du Comité économique et social local (CESL).

Nous avons un confort de vie comme nous n’en avons jamais eu avant. Et la vie est nettement mois chère qu’à Aix.

» Un petit bémol, quand même, de la part de Nicole : «Je vais souvent à la piscine et franchement je ne la trouve pas agréable…

Édith et Jean-Louis vivent dans une petite villa à Saint-Georges-de-Didonne depuis 2010. Jean-Louis était ingénieur du génie civil à la SNCF, une fonction très «mobile».

Et, avant le terminus à Saint-Georges, un arrêt en gare de neuf ans à Toulouse. Et deux ans plus tard, la villa de vacances devient la résidence principale.

« Nous revenons à Toulouse de temps en temps, une fois tous les deux mois environ, pour voir nos enfants.Mais nous préférons nettement le Pays royannais. Jean-Louis s’occupe de soutien scolaire avec l’association Trait d’union.

Édith, artiste, anime un atelier de modelage et de sculpture sur terre à Saint-Georges. En plus, le climat nous convient mieux que celui de la région toulousaine. Et puis, ici, les nuages sont plus beaux!

Originaire de Normandie, Élisabeth, commerçante jeune retraitée, a vécu vingt-quatre ans à Poitiers. Au décès de son mari, en 2009, elle ne souhaitait plus rester dans sa grande maison de la banlieue de Poitiers. Élisabeth s’est inscrite à un club de Zumba où elle va chaque mardi soir et s’initie au bridge au Garden.

« Par rapport à Poitiers, Royan est exceptionnelle. Ici, la luminosité est formidable, et ça vous met de bonne humeur.

résumé art didier piganeau de Sudouest

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