Des logements vides par centaines

habitations et le manque de moyens ou de volonté des propriétaires pour les rénover. Des aides financières existent mais «ce n’est pas toujours suffisant» pour les décider à agir. Le problème se pose aussi en cas d’héritage : «Parfois, les gens ne savent pas ce qu’ils vont faire du bien et il peut y avoir une période de vacance», analyse la notaire Hélène Gaillard. D’autres cas concernent des appartements placés au-dessus de commerces et dont l’accès a été condamné.

Exemple avec un magasin de chaussures de la rue Audry-de-Puyravault, qui a fait de l’immeuble une annexe à sa boutique.

La gérante du tabac-presse situé juste en dessous affirme que les appartements sont inoccupés depuis une trentaine d’années.

Il souhaiterait que l’État finance un programme de rénovation urbaine.

Car la Ville, seule, n’a pas les moyens de reconquérir ces logements.

Encore faut-il savoir si ces logements, même rénovés, trouveraient preneurs.

Aujourd’hui, on a déjà plus d’offres que de demandes pour des appartements en centre-ville.

Ce qui se vend très bien, c’est les maisons.

La raison, d’après elle : l’aspect «vieillot» et le prix trop élevé. S



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