Colette fait tapisserie(s)

Photo DP
C’est comme un petit supplément d’âme à cette exposition de Colette Enard qui devait se terminer dimanche dernier au musée. Depuis le début de la semaine et jusqu’au 4 mars, le musée propose, en plus des toiles accrochées depuis octobre, une quinzaine de tapisseries et cartons de la peintre surréaliste. Exposition quasi inédite, puisque beaucoup de ces oeuvres, appartenant à l’artiste royannaise ou à des particuliers, n’avaient jamais été présentées au public.

«Nous avions réfléchi à ce qui pourrait le mieux représenter la carrière de Colette Enard et nous avons pensé que ces tapisseries compléteraient parfaitement cette exposition», indique Claire Pépin, directrice du musée.

Après une longue période consacrée à la peinture, d’abord figurative et ensuite surréaliste, Colette Enard s’est orientée au milieu des années 60 vers la tapisserie.

La tapisserie, ou plus exactement le dessin des cartons, s’avère nettement plus lucratif pour l’artiste qui, là aussi, excelle dans cette forme d’expression. S



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